L’un des points marquants de « l’ADN » du LabEx est son ambition d’encourager les croisements entre les acteurs de la recherche sur le champ de l’urbain et les acteurs praticiens. Les interactions à développer sont de multiples natures : partage de terrains, expertises croisées, réponses conjointes à des appels à projet de recherche, partage de droits d’usage – voire de propriété – de données et de propriété intellectuelle des résultats, construction de partenariats structurés de long terme…
Un autre enjeu de la communauté IMU est d’inscrire dans la durée la dynamique de recherche dans laquelle elle est engagée. Cet enjeu est également à dimensions multiples. Il implique d’abord de réussir à capitaliser nos acquis scientifiques collectifs. Mais il implique aussi de construire un cadre de fonctionnement pérenne – et très prosaïquement – capable de mobiliser des financements au-delà des échéances actuelles de financement du LabEx.
L’ambition de croisement recherche/praticien rencontre évidemment le souci de donner à nos recherches les moyens de leur développement dans la durée.
